Il y a deux ans : La une du 13 octobre 2008
Il n’y aurait jamais dû avoir d’identification et d’élection sans désarmement. Le Fpi aurait dû rester ferme sur cette position, plutôt que de baisser la culotte et céder aux desiderata des rebelles du voltaïque sanguinaire Alassane Ouattara. Le choix de Sagem et le mode d’identification ont de nouveau ouvert « la boite de pandore » et permis des fraudes massives sur toute l’étendu du territoire national. Avec « l’accord de Ouaga », les rebelles ont balisé le terrain pour pousser Gbagbo vers la porte de sortie. Mièvre et naïf à souhait, il a livré lui-même -grâce aux pseudos accords de paix- des instruments au voltaïque sanguinaire Alassane Ouattara pour le battre… Tous ceux qui pensaient que ces « accords magiques » allaient ramener la paix en son pour leurs frais. Ils avaient pour seul objectif de chasser Gbagbo du pouvoir. La situation ubuesque d’aujourd’hui, qui est la conséquence directe de ces accords de dupes, avec deux présidents, deux gouvernements et deux territoires pourrait simplement se résumer à ceci : « un pas en avant et trois pas en arrière ».