Ce nain, ce nabot, ce cocu ! Ce président qui a tellement ridiculisé et fait honte aux français et à la France entière, en lui imposant comme première dame une insatiable pin up, a osé donner, ci-dessous, un ultimatum à notre Koudou national. Pour qui se prend ce cocu, pour ainsi s’adresser à notre président, démocratiquement élu et librement choisi par les dignes fils de la nation ivoirienne, et non désigné par quelques néo colons nostalgiques d’une époque aujourd’hui totalement révolue ? Il n’est pas question que le digne peuple ivoirien accepte ce voltaïque sanguinaire, Alassane Dramane Ouattara voleur, violeur, assassin et tueur d’enfants à la tête de la nation.

Gbagbo ira se défendre devant la cour pénale internationale, contre les accusations mensongères des impérialistes américains et des néo colons français, qu’à la seule et unique condition que les criminels de guerre occidentaux comme Jacques Chirac et George Bush, répondent de leurs crimes devant celle-ci. Au diable donc le raciste colonialiste Moreno Ocampo Luis, qui semble sourd, muet et aveugle devant les crimes atroces des américains en Irak et en Afghanistan, et devant ceux des rebelles sanguinaires des voltaïques Alassane Ouattara et de Blaise Compaoré, supplétifs des néo colons français dans leurs basses œuvres en Afrique de l’ouest.

On se croirait dans un vilain cauchemar, si tout cela n’était pas réel. Des criminels notoires comme Soro Guillaume, voleurs, violeurs, assassins accusent Gbagbo de crimes ? Le monde à l’envers ! Mais malheureusement aussi, le monde cruel et bien réel dans lequel nous vivons.

  "Est-ce qu'il veut laisser l'image d'un homme de paix ? il est encore temps, mais le temps presse et il doit partir", a dit le président français. "Ou est-ce qu'il veut laisser l'image de quelqu'un qui a fait tirer sur des civils parfaitement innocents ? Et, dans ce cas-là, il y a des juridictions internationales comme la Cour pénale." Il a précisé que ce n'était pas seulement la position de la France mais aussi celle l'Europe "unanime", des États-Unis et du Conseil de sécurité des Nations unies. "Il n'y a pas d'autre possibilité pour Laurent Gbagbo que de quitter à bref délai un pouvoir qu'il usurpe", a-t-il insisté.