Cette coalition de voleurs, de violeurs et d’assassins appelée RHDP, alliée aux néo colons français et aux impérialistes américains aidés de leurs supplétifs Burkinabés, maliens, guinéens, sénégalais, nigériens, nigérians et tchadiens de la Cedeao ne sème que la mort et la désolation dans les familles éburnéennes depuis bientôt  9 ans. Du 19 septembre 2002 à aujourd’hui, ils n’apportent que le chagrin et la mort au digne peuple ivoirien. Ce sont eux qui volent, violent torturent et tuent en Côte d’ivoire. L’Ecomog agit en Côte d’ivoire de manière officieuse. Ce sont ses éléments qualifiés de « commando invisible » mais, très visibles et mortels, qui torturent et massacrent aux côtés des rebelles terroristes du PDCI et du RDR, les ivoiriens dans leur propre pays.

Il serait temps que la peur change de camp : L’heure est venue de terroriser les terroristes ! Il faut désormais leur rendre la monnaie de leur pièce, en rendant coup pour coup, œil pour œil et dent pour dent.  Les jérémiades de certains leaders terroristes du PDCI qui ont vu leur domicile saccagé sont risibles : Ils n’ont encore rien vu ! Qu’ils s’estiment heureux que leur femme et leurs filles n’aient pas été violées, torturées et sauvagement assassinées comme le font leurs rebelles sanguinaires avec les familles des autres. Qu’ils s’estiment heureux que leurs fils n’aient pas été atrocement torturés, puis égorgés comme des moutons de la tabaski…

Mais le temps n’est plus loin ou les victimes crieront justice et vengeance ! Les voltaïques sanguinaires Alassane Dramane Ouattara et Blaise Compaoré associés aux ressortissants ingrats de la Cedeao, et leurs complices du P.D.C.I –les véritables bourreaux de la nation- boirons alors le calice jusqu’à la lie. Il n’est plus question de permettre à ces êtres diaboliques de semer la tristesse, le désarroi et la douleur dans les familles, pendant que leur famille vivent tranquillement, et narguent celles des victimes de leurs actes maléfiques. Il faut écraser la tête du serpent. Ces démons ne mettrons fin à leurs méfaits, que si leur famille en souffrent. Les rues d’Abidjan, principalement celles d’Abobo, peuplé à 80% de ressortissants de la Cedeao, sont aujourd’hui parsemées de cadavres d’ivoiriens, torturés, mutilés et sauvagement assassinés à cause des mièvreries, de la mollesse et de négligences coupables des autorités civiles et militaires. L’expulsion massive de ressortissants de la Cedeao, qui volent, violent, égorgent et massacrent les ivoiriens, doit être mis en œuvre pour le salut du peuple et de la nation.