L’appel lancé par le « général » Charles Blé Goudé sauvera la nation¹. Il était grand temps que cela se fasse. Les ivoiriens ne laisserons pas les Burkinabés, les maliens, les sénégalais, les anangos et les guinéens les égorger sans réagir. Si les ivoiriens doivent mourir, il serait souhaitable que cela se fasse pour le combat pour la libération totale de la nation. Les jeunes ivoiriens peuvent être magnifiques et extraordinaires quand ils le décident. Quand ils s’entichent de quelque chose, ils en font leur affaire. Ils ont smurfé et breakdancé mieux que les américains dans les années 80. Ils ont imposé le zouglou en Afrique de l’ouest et même en Afrique centrale pourtant réputée pour la vivacité de ses courants musicaux dans les années 90. Ils ont imité, remanié et réexporté vers l’Afrique centrale ses propres genres musicaux avec le coupé-décalé. Aujourd’hui contre son gré, la jeunesse ivoirienne est confrontée à la guerre. Elle imitera et dépassera bientôt les Burkinabés, les maliens, les guinéens, les sénégalais et les anangos dans la guerre. Le retour du bâton sera alors rude pour ces derniers : La peur changera bientôt de camp. Et ceux qui volent, violent, torturent et tuent les ivoiriens dans leur propre pays depuis 2002, feront eux aussi l’expérience des actes barbares qu’ils ont fait subir au digne peuple éburnéen depuis 9 années. Aux armes citoyens !!!

1-J’accuse… !