C’est le même Philippe Mangou, qui dressa un trône « royal » au président Gbagbo dans l’une des salles de réunion de l’état major des armées au camp Gallieni, qui fut le premier à le « vendre » aux néocolons français. Cet homme est aujourd’hui, en Côte d’ivoire, le symbole de la lâcheté et de la traitrise. Dieu maudisse Mangou, Kassaraté, Detoh Leto, Guiai bi-Poin et Bredou M’bia pour avoir livré le peuple ivoirien entre les mains des assassins du burkinabé Alassane Dramane Ouattara. Qu’il confine leurs âmes damnées dans les flammes éternelles de l’enfer pour avoir permis le massacre de milliers de femmes, d’enfants et d’hommes par leurs actions, inactions et trahisons. Qu’il les châtie au plus haut degré pour leur refus de remplir leur devoir de protection des populations civiles qui se font continuellement piller et massacrer par leurs nouveaux amis voleurs, violeurs et tueurs des Frci. Tous les drames que nous craignions, quand nous voyions Gbagbo se diriger vers un désastre, sont aujourd’hui devenus réalité. Dieu sauve la Côte d’ivoire.