Pendant que des idiots au FPI songent à entrer dans le gouvernement criminel du RHDP, les ivoiriens se font violer, kidnapper, torturer et assassiner tous les jours par les rebelles burkinabés, maliens, guinéens, nigérians et sénégalais du MPCI rebaptisés FAFN, puis FRCI du burkinabé sanguinaire Alassane Dramane Ouattara sous les regards indifférents de l’armée, de la gendarmerie et de la police nationale, dont chaque membre à juré assistance et protection aux populations civiles, qui les paient avec l’argent de leurs impôts pour assurer leur sécurité. Ces traitres et ces lâches, ne protestent jamais, et ne s’interposent jamais, entre les rebelles et les pauvres civils sans défense, qui se retrouvent ainsi pieds et poings liés à la merci de ces criminels sanguinaires.

Les policiers, gendarmes et militaires ont lâchement abandonné les populations civiles entre les mains des criminels sanguinaires d’Alassane Ouattara. Ils sont payés par des populations pour assurer leur sécurité, mais sans honte, refusent d’assumer  leur devoir. Ils n’ont aucun honneur, ni aucune dignité. Les petits miliciens de Yopougon ont montré mille fois plus de bravoure que ces spécialistes du racket de chauffeurs de taxi.

Si Gbagbo avait formé et entrainé, à la défense de la patrie, dans chaque ville de Côte d’ivoire quelques centaines de jeunes comme on a pu en voir à Yopougon, jamais les néocolons et leurs supplétifs sanguinaires n’auraient eu raison de la détermination de la nation. Ce naïf préféra s’appuyer sur une armée de traitres et de lâches, plutôt que sur le peuple en rétablissant la conscription.