Escroquerie Politique : le cas Barack Hussein Obama
Jamais un président des Etats-Unis d’Amérique n’avait tant déçu et ruiné les espoirs de ses électeurs. Le changement attendu n’a pas eu lieu. Pour un premier noir à la maison blanche, les citoyens étatsuniens étaient loin de se douter qu’il s’agissait en fait du nouveau domestique des lobbys financiers et du complexe militaro-industriel. Obama devrait être poursuivi par ses électeurs devant la justice étatsunienne, pour publicité mensongère et crimes de guerre. Il a fait tout le contraire de ses promesses électorales : pire que George W. Bush, il n’a ramené ni la paix, ni la prospérité, et encore moins la justice en reconduisant le patriote act comme le démontre Paul Craig Roberts.
La démocratie occidentale : une farce et une escroquerie
Par Paul Craig Roberts
Obama avait convaincu l’électorat qu’il mettrait fin aux guerres, qu’il arrêterait le viol de la loi par le gouvernement des Etats-Unis, qu’il mettrait fin au régime illégal de la torture, qu’il fermerait la prison de la torture de Guantanamo et qu’il s’intéresserait aux véritables besoins des Américains plutôt que de remplir les poches du complexe militaro-industriel et de la sécurité avec l’argent des contribuables.
Une fois en place à la Maison Blanche, Obama a renouvelé et étendu les guerres néo-conservatrices de Bush / Cheney.
Il valida les assauts du régime Bush contre la constitution. Il laissa Wall Street gérer la politique économique états-unienne, il absolvait le régime Bush de ses crimes et il assignait au peuple américain le coût financier nécessaire pour préserver les privilèges économiques des méga-riches.
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