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XADA POLITICUS
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19 avril 2012

Le retour du boomerang

attj

 Les ivoiriens sont en ce moment en joie. Le Mali est coupé en deux ! Une joie immense causée par l’expérience malienne en matière de terrorisme français. Ces idiots maliens, qui soutenaient la France contre la nation ivoirienne, n’ont plus aujourd’hui que  leurs yeux pour pleurer devant la fourberie d’Alassane Dramane Ouattara, et de ses maîtres français… Qu’attendent donc les nombreux maliens présent dans les rangs des Frci, –la milice privé d’Alassane Dramane Ouattara- pour aller défendre leur pays saccagé par les valeureux rebelles Touaregs qu’ils qualifient de bandits ? Mais, les vrais bandits, ce sont eux, qui ont pillé et saccagé une nation qui n’est pas la leur. Fichtre ! Des égorgeurs qui se plaignent de voir leurs compatriotes maliens égorgés ? Des violeurs qui se plaignent de viols ? On verra et on entendra tout avec ces maliens qui prennent plaisir à égorger et violerles ivoiriens.Gloire et victoire donc aux Touaregs, à Ansar Dine, à Aqmi et au MNLA. Comme le disait quelqu’un « si Dieu dort, ça ne doit être que seulement d’un œil ! »

 

Complicité avec les rebelles dans les régions de Tombouctou, Gao et Kidal La France démasquée !

 

Elle a été, la France, la première à nous annoncer l’attaque le 17 janvier dernier de la ville de Ménaka par des « rebelles Touaregs ». Elle a été aussi le premier pays étranger que les Maliens ont vite soupçonné de soutenir ces bandits armés. Et, en seulement deux petits mois, les masques sont tombés. La France est bel et bien complice de la situation qui prévaut actuellement en 6ème, 7ème et 8ème région du Mali. La révélation a été faite le week-end dernier par deux députés (UMP) français.

 Le mensonge a beau courir, il sera rattrapé par la vérité.

C’est la leçon qu’il faut retenir, après que deux députés français (tous de l’UMP, parti de Nikolas Sarkozy) aient révélé publiquement la semaine dernière que la France est complice de la « rébellion Touareg au Mali ».

Egorg_Les deux hommes, dans un rapport soutiennent que la France peut et doit s’impliquer pour mettre fin aux affrontements entre l’Armée Malienne et les rebelles Touaregs.

Ils expliquent la nécessité de l’implication de leur pays dans le règlement du conflit par le fait que les « rebelles touaregs » avaient sollicité le soutien politique et militaire de la France et, en échange, combattre Aqmi dans la région.

Aussi, le même rapport souligne que le fait que le Mali, le Niger, et la Mauritanie soient considérés comme des zones rouges1885316214 (des pays à haut risque du point de vue sécuritaire) était excessif et est non seulement favorable à Aqmi, mais aussi, contribue à affaiblir économiquement ces pays qui tiraient un grand profit du tourisme international.

Le même rapport qui demande à la France de s’impliquer pour mettre fin à l’affrontement entre l’Armée malienne et les « rebelles touaregs » suggère que les deux parties créent une brigade mixte assistée de forces européennes pour sécuriser la région.

Les deux parlementaires français ne disent pas cependant si, oui ou non, la France a effectivement accepté la proposition des18853162142 rebelles, d’échanger son soutien contre leur engagement de combattre Aqmi. Politesse exige, mais, la question ne se pose pas, car la France n’a jamais condamné l’agression perpétrée contre notre pays.

Elle demandait plutôt (par la voix de son ministre des Affaires Etrangères Alain Juppé), un « cessez le feu », « malgré les succès militaires remportés par les rebelles Touaregs ».

Cette déclaration, Alain Juppé l’a faite devant l’assemblée nationale de la France, quelques jours seulement après le massacre de plusieurs soldats maliens désarmés à Agel Hoc.

Et, face à l’indignation des Maliens devant la cynique déclaration, le ministre français de la Coopération, en visite (furtive) dans notre pays, expliquait à son tour que la France ne soutient pas les rebelles.

Que vaut sa parole, après les révélations des deux députés français qui, en plus, sont du même parti politique que le président français Sarkozy ?

Décidément, les temps changent, mais, la politique française en Afrique reste la même : pitoyable et nauséabonde.

 

Source :www.maliweb.net

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