A l’image du nord de la Côte d’ivoire annexé par l’ex Haute-Volta aujourd’hui Burkina-Faso, l’hôtel du Golf est plein de soldats de l’armée du Burkina-Faso, qui se sont introduits à Abidjan en se mêlant aux rebelles et avec l’aide logistique de l’Onuci. Ils doivent servir de fer de lance dans l’attaque de la capitale abidjanaise, en plus de ceux infiltrés dans le quartier voltaïque d’Abobo Pk 18. Ces deux zones, places fortes des ennemis de la nation, Abobo pk 18 et l’hôtel du golf, doivent être bombardées et rasées pour le salut de la nation éburnéenne. Il faut arrêter la politique de l’autruche, et le dénoncer haut et fort : C’est l’ex Haute-Volta, aujourd’hui Burkina-Faso, qui attaque la nation ivoirienne depuis 2002, pour le compte des néo colons français.

Cette crise est en réalité une guerre menée par le Burkina, le Mali, le Sénégal et la France à des degrés divers contre la Côte d’ivoire, au nom de leurs intérêts. Selon leur vision politique commune, l’ivoirien n’aurait pas droit à une jouissance légitime de ses propres richesses. Ces pays qui servent de « bâton » à la France contre la nation ivoirienne doivent être brisés, fracassés. Les ressortissants maliens, sénégalais, voltaïques et guinéens vivants sur le territoire national, qui participent aux actions de déstabilisations de la patrie, doivent être expulsés manu militari vers leur pays d’origine. Ainsi, renvoyer au voltaïque sanguinaire Blaise Compaoré, quelques millions de burkinabés, suffira largement à le remettre à sa vraie place, qui est celle d’un petit putschiste sanguinaire et minable, à la tête d’un des pays les plus pauvres de la terre.