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XADA POLITICUS
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20 juin 2011

Pieds et Poings Liés entre les Mains des Rebelles Sanguinaires

 

Pieds et Poings Liés entre les Mains des Rebelles Sanguinaires

 

Pieds et Poings Liés entre les Mains des Rebelles Sanguinaires. Quand le Cauchemar devient Réalité…

Voilà où nous ont conduits les choix politiques du FPI. Ce parti naïf du « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ». Combien de fois n’avons-nous pas été vilipendés, pour les dénonciations que nous faisions des décisions dangereuses pour la nation et le digne peuple ivoirien prises par Gbagbo, comme si ce dernier était infaillible ? Le résultat est aujourd’hui là, sous nos yeux plein de tristesse. Que font l’armée, la gendarmerie et la police pour protéger les populations innocentes contre les bandits d’Alassane Dramane Ouattara ? Que fait le FPI - à part négocier la libération de ses cadres et discuter sur son entrée au gouvernement -pour la sécurité de ses militants et sympathisants ? Rien ! Comme d’habitude, ce sont les innocents qui paient les pots cassés par d’autres…

il est facile d’accuser la France, mais qui donc a créé les conditions de cette élection meurtrière, en y allant malgré toutes les mises en garde et le guet-apens manifeste. Il est aberrant et triste à la fois de constater qu’il existe encore des personnes pour dédouaner Gbagbo de ses actes. C’est à croire que l’irresponsabilité est une seconde nature chez le nègre. Gbagbo est le seul et unique responsable de cette situation. C’est consciemment, et en toute connaissance de cause, qu’il a pris la décision d’organiser des élections dans un pays à moitié occupé par les mercenaires armés de ses adversaires politiques malgré toutes les mises en garde. Qu’auraient fait la France, l’ONU et la fameuse « communauté internationale » s’il avait continué d’exiger le désarmement des rebelles, avant les élections comme le stipulaient tous les « accords de paix » et les recommandations de l’ONU elle même ?

Nous somme effarés de constater que jusqu’à présent de nombreuses personnes ne reconnaissaient pas la responsabilité de Gbagbo et continuent d’accuser la France. Cette dernière n’a rien fait de nouveau en Côte d’ivoire. Elle n’y a fait que ce qu’elle a toujours fait dans ses néocolonies en y imposant un pantin à ses ordres. La France n’a pas changé sa nature. Sachant cela en tant qu’historien, il revenait donc au président Gbagbo de ne lui accorder aucun crédit ni à elle, ni à ses suppôts comme il l’a fait en se fiant en la bonne foi de rebelles sanguinaires.

Personnes ne doit aujourd’hui être surpris par les massacres et les actes barbares posés tous les jours, dans toute la partie sud de la nation ivoirienne. Ces gens là avaient déjà montré leur nature sanguinaire en 2002 en massacrant des milliers d’enfants, de femmes et d’hommes dans les zones qu’ils avaient réussi à occuper, grâce au cessez le feu signé en catastrophe par le ministre des affaires étrangères sénégalais de l’époque, Cheick Tidiane Gadio, acteur clé du complot. Les massacres et exactions actuels étaient prévisibles comme nous le craignions depuis longtemps. Les massacres de 2011 ne sont en fin de compte qu’un remake de ceux de 2002.

Il faut se rendre à l’évidence et arrêter les niaiseries à propos d’une impossible réconciliation avec le diable. La nature sanguinaire de ceux qui ont pris le pouvoir en côte d’ivoire ne changera jamais. Il revient à l’ivoirien de changer son mode de pensé et sa nature en cultivant la préférence nationale à outrance et en sortant de la naïveté, de la lâcheté et du défaitisme. Car pendant cette guerre, nous avons pu constater que de nombreux ivoiriens, lâches parmi les lâches à l’image des Magou, Kassaraté, Guiai bi Poin et Brédou M’bia préféraient la soumission, la honte et le déshonneur,  à la mort. Cela nous fait dire que les jeunes résistants de Yopougon et les quelques soldats qui les soutenaient, sont aujourd’hui les véritables héros de la nation.  

 

LE CHEF D’ABREBY (JACQUEVILLE) ENLEVE

M.Boby André chef du village  d’Abréby dans le  département de jacqueville, a été  enlevé le mardi dernier par des éléments des FRCI. Il a été conduit a l’hôtel M’Kao qui est leur base. Selon les informations, ils l’accusent  de cacher des armes. En dépit du fait que les fouilles qu’ils ont opérées se soient révélées infructueuses, ils ont quand même gardé le chef  traditionnel sans  autre justification.

UN JEUNE CONTRAINT  A PAYER UN MOUTON A GUIBEROUA

Le jeune Gouanou Bruno  vivant  à Galébré , dans la sous préfecture de Guibéroua ,a certainement acheté le mouton le plus cher de sa vie .Accusé par un Burkinabé d’avoir volé  son mouton ,il a été contraint, sous la menace des armes des FRCI de le payer au prix fort : 900.000F . Les parents de Gouanou ont du mettre la main à la poche pour éviter le pire à leur fils.

UN JEUNE ECHAPPE A LA MORT  A YOPOUGON-SIDECI  

Ba Guéladé avait fuit les combats au plus fort des affrontements à Yopougon-Sideci. La semaine dernière, il est revenu croyant qu’il n’y avait plus de danger. Erreur ! Il sera arrêté  au domicile d’un de ses amis à qui il était allé rendre visite. Les FRCI lui demandé ou il a caché les armes. Il répond  qu’il ne cache pas d’arme il est tout de même conduit au camp des frci situé sur la route de Béago ou il est maltraité. Il est gravement blessé à l’arme  blanche. Il perd abondamment  de sang.  Ba  Guéladé  devra la vie sauve aux habitants du quartier qui se sont mobilisés pour demander  sa libération.

LES  HOMMES DE OUATTARA  PILLENT ET VIOLENT A KONONFLA

Les soldats de l’armée d’alassane Ouattara FRCI se sont attaqués la semaine dernière aux paysans de la petite localité de Tabganakro , à 10 Km de la nouvelle S/P de Kononfla , dans la région  de sinfra . En effet, des plus  petits   grands planteurs, personne n’a été épargné par les miliciens de ouattara. Ils ont tous été dépouillés de leurs biens sous prétexte que le village à voté pour Laurent Gbagbo à 95%  lors de la dernière élection présidentielle. Pire, les étudiantes en vacances dans leur  village ont été violées par le chef  rebelle a par ailleurs chassé le chef de la tribu kononfla.

Jean Martin Dassé, directeur administratif du siège du FPI est depuis mardi 11h30, aux mains des éléments de l’armée de Ouattara qui l’ont conduit à la Pergola, l’autre prison du nouveau régime. Alors qu’il se rendait au Ghana pour une séance de prière en compagnie de son pasteur Naho, de l’église Pentecôtiste siège de Marcory, son épouse, sa belle-sœur et de l’épouse du pasteur, il a été stoppé net au poste frontière de Noé par les éléments des FRCI. On lui reprocherait d’avoir sur lui un texte manuscrit dans lequel il parlerait du nouveau pouvoir et de ses soldats qui sont accusés par toutes les organisations de défense des droits humains de commettre des atrocités sur les partisans de Laurent Gbagbo.

Aujourd’hui beaucoup de témoins des évènements affirment que les FRCI et leurs auxiliaires et autres ont entrepris une véritable chasse aux sorcières dans ces villages. Des hommes, des femmes et des enfants ont été pourchassés, tués jusque dans les forêts, assassinés par les FRCI. Ces villages ont été tous incendiés. Ainsi rien que pour Godjiboué plus de 63 personnes ont été assassinées. Ce bilan n’est pas exhaustif. A Adébem, Godjiboué, Trikpoko et Gobroko, aucun Godié ne dispose d’arme lourde comme on veut le faire croire. Mais les FRCI et ses auxiliaires ont également tué plus de 35 personnes Adébem.

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