Le général De gaule en promettant, par la force des choses, l’indépendance aux pays africains affichait sa vraie nature : Celle d’un homme fourbe, menteur et hypocrite que les nouveaux chefs d’états des pseudos pays indépendants africains n’allaient pas tarder à découvrir, à travers le système néocolonial de la Françafrique. Son âme damné, le sinistre Jacques Foccart était l’exécuteur des basses œuvres du général en Afrique. Conscient de la nature infecte de sa politique en Afrique, le général ne s’en cachait d’ailleurs pas en affirmant le plus sérieusement du monde : « Quand je pète, c’est Foccart qui pue ! ». En effet, toutes les politiques néocoloniales du général, caractérisées par un mépris total de la dignité et de la vie humaine étaient mise en œuvre par Foccart.

Le général De gaule a été donc l’un des plus grands sinon, le plus grand ennemi contemporain de l’Afrique. Aucun africain digne de ce nom ne devrait avoir la moindre admiration pour ce criminel fourbe, qui fut le père de ce « cancer » Françafricain à l’origine de toutes les souffrances contemporaines du continent. L’objectif de De gaule, en octroyant de pseudos indépendances aux pays africains à travers son système Françafricains, ne visait qu’à perpétuer sournoisement le pillage des richesses africaines en instaurant une illusion d’indépendance. Les européens d’aujourd’hui devant les investissements massifs des chinois en Afrique, tentent de façon mesquine avec l’argument suivant, la mise en œuvre d’une alliance avec ces derniers en vu d’un pillage commun du continent : « Ne faites plus de prêts massifs aux africains, passez par nous. On n’aide pas les africains, on fait semblant de les aider, ça fonctionne comme cela depuis 5 siècles ». Cette phrase, résume à elle toute seule la vision qu’avait le général De gaule des rapports français avec l’Afrique.